Traversant Les Cités Liquides
LA DIVISION TECHNIQUE
Édition de luxe limitée et numérotée
ROTOR0083 CD
Un voyage à travers des continents désespérés et des mondes humains en chute libre
– entre musique électronique psychédélique, mélodies torturées avec touches d’arpèges en pleurs, qui
s’écrasent sur des vagues ambiantes industrielles. Parfois, une voix de femme ou d’homme…
some french occult electronic !?
1 – Gelée grise (1 :52)
une descente vertigineuse, après une invasion de
nanorobots
2 – D’un vif argent (2 :40)
un thème électronique séquencé, peut-être celui
d’une vague chanson dansante…
3 – Ceux de la brume (05 :15)
un blues électronique, sous influence Swans et
Morricone, la voix posée sur un texte de Badou
Ortega, poétesse inspirée par Christa Päffgen
4 – Traversant les cités liquides (7 :00)
poème ambient-industriel épique, hommage à
Ian Curtis, écrit et interprété par Badou Ortega
5 – Le grand nocturne (3 :21)
quelques notes au piano, obsédantes ; des vagues
ostinato s’échouent sur des continents en
perdition, hébergeant une humanité désespérée
6 – Cercles intérieurs (3 :01)
quelques arpèges en pleurs, portées par des vagues ambiantes
7 – Chaleur blanche, rouge pluie (9 :23)
à l’origine, une pensée obsédante à propos de « The Gift » du Velvet Underground, avec
finalement des couleurs psychédéliques presque krautrock, sur fond de guérilla électronique
8 – George’s cinematic landscape (5 :21)
une dramaturgie proche de ce que ressenti chez Georges Delerue, en particulier dans
« Camille et sa tristesse infinie », sur fond d’éléments cinés fantasmés, d’après Coppola ou
Sergio Leone…